Médéric RIBREUX a écrit 425 commentaires

  • # Sur F-Droid ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mieux trier à Nantes... et ailleurs (Montpellier...). Évalué à 8.

    Hello,

    c'est pas mal. Les données de la métropole sont bien utilisées comme quoi, l'opendata c'est plutôt positif…
    Je vois que vous êtes déjà référencés sur le portail OpenData de Nantes Métropole ce qui est un (petit) plus au niveau visibilité.

    Néanmoins, l'application étant libre, ce serait bien de la mettre sur le dépôt F-Droid pour permettre une plus grande exposition de l'application vers les libristes !

    Dans tous les cas, bon courage pour la suite…

  • [^] # Re: Encore Debian

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message super marre de Linux !!!!. Évalué à 3.

    Hello,

    en fait, debian-multimedia.org n'existe plus. Le nom de domaine a été remplacé par deb-multimedia.org depuis 2012 !

  • [^] # Re: A quoi cela sert-il ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Hackathon à Dijon sur la distribution GNU / Linux EOLE du 24 au 26 novembre 2015. Évalué à 2.

    Hello,

    EOLE est utilisée sur un très grand nombre (voire la majorité) des serveurs génériques du Ministère en charge de l'écologie et ça fait du monde (pour mon expérience, il y a au moins un serveur par département, un pour chaque région, je ne connais pas les chiffres pour l'administration centrale mais ça doit monter assez haut). Donc peut-être que du côté du Ministère en charge de l'éducation, ce n'est pas très rose mais pour l'autre participant institutionnel de cette distribution, c'est plutôt très utile…

  • [^] # Re: Auto-hébergement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Dégooglisons Internet, saison 2 : ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait !. Évalué à 2.

    Hello,

    juste au passage:

    J'auto-héberge (chez Gandi, pas chez moi) ma messagerie, mes listes, mon web, depuis quelques années.

    Il faut plutôt dire: "Je fais héberger chez Gandi ma messagerie, mes listes, mon web,…"

    L'auto-hébergement c'est quand c'est chez toi et que tu possèdes le matériel. Sinon, c'est de l'hébergement classique.

    Cordialement,

  • [^] # Re: Passer les filtres anti-spam

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La campagne Kickstarter de Own-Mailbox a commencé. Évalué à 6.

    Hello,

    effectivement, il faut voir ce que ça va donner sur le terrain. Certains FAI sont quand même plus intéressants sur ce point (genre, chez Free, je n'ai jamais eu de problème de rejet de mon MTA depuis 5 ans).
    J'espère également que la configuration sera bien évidemment blindée pour éviter l'open-relay (enfin, la conf par défaut de Debian gère déjà cet aspect), mais aussi que le MTA sera bien encadré par du DKIM/SPF/DMARC.

  • [^] # Re: Un projet à suivre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La campagne Kickstarter de Own-Mailbox a commencé. Évalué à 1.

    Hello,

    effectivement, si la conversion d'un vieux PC en serveur auto-hébergé de courrier électronique était si simple, je crois que personne n'utiliserait jen_ai_rien_afoutre_du_secret_de_ma_correspondance_je_veux_juste_un_service_de_courriel_gratuit_mail.com (remplacer jen_ai_rien_afoutre_du_secret_de_ma_correspondance_je_veux_juste_un_service_de_courriel_gratuit_ par g ou y ou hot) !

  • [^] # Re: Raspberry Pi ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche La campagne Kickstarter de Own-Mailbox a commencé. Évalué à 8.

    Hello,

    l'OS c'est Debian donc c'est bien !

    Ce qui sera(it) intéressant, c'est de récupérer les sources des éléments de configuration et de modifications de paquets (ou de sources d'autres logiciels) et on obtiendrait du même coup la possibilité de "porter" OwnMail-Box sur toute machine sur laquelle on peut installer Debian (stable je pense)… Ça fait quand même un paquet de machines !

    Autre intérêt de récupération des sources: ceux qui (auto-)hébergent déjà des services de courrier électronique pourraient sans doute récupérer le moyen technique de communiquer des mails chiffrés via HTTP (Private Link Message) sur des services déjà en place. Ça ferait un pas de plus vers le chiffrement global des courriels ce qui est plutôt une bonne chose !

    Dans tous les cas, je leur souhaite de réussir !

  • [^] # Avis d'un autre fonctionnaire décisionnaire...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche 2048 courriers de sensibilisation des acteurs locaux aux enjeux du logiciel libre (un par jour). Évalué à 10.

    Hello,

    relativement à Microsoft Office vs LibreOffice, je ne peux que citer l'engagement de la gendarmerie, du ministère de l'agriculture, du ministère de la justice, du ministère en charge de l'écologie et des autres que j'ai oublié qui sont passés sous OpenOffice puis LibreOffice depuis maintenant quelques années. Concrètement, il y a des grincements de dents au début mais rétrospectivement, ça marche ! Si des ministères entiers arrivent à migrer, ça doit être également possible au niveau local d'un hopital.

    C'est essentiellement une question de volonté qui se joue à tous les niveaux, pas seulement en haut !

    Effectivement, il y a toujours la difficulté de migrer. Mais le problème, c'est le changement, pas le logiciel libre en lui-même.

    Par exemple, quand j'ai commencé à travailler, ma structure administrative (une centaine de personnes) était équipée d'une flopée d'imprimantes individuelles (près d'une cinquantaine quand même) avec différentes références qui obligeait l'équipe en charge du système d'information (et des imprimantes) à jongler en permanence avec de trop nombreuses références de consommable. Ces machines peu performantes nous coutaient un bras. J'ai donc lancé un projet, pour le coup uniquement local à ma structure, (pas de directive du ministère sur le sujet) et en réussissant à convaincre la direction, nous avons lancé un plan de passage à de l'impression réseau de qualité en diminuant le nombre de machines et, ce qui fut le plus dur à accepter, en obligeant les gens à partager des machines alors qu'avant, l'utilisation était individuelle. Nous y sommes parvenu en apportant une plus grande vitesse d'impression, de nouvelles fonctionnalités (recto-verso) et en plaçant les machines aux bons endroits. Malgré tout, ce ne fut pas si facile, je me souviens particulièrement d'une réunion où j'avais 30 secrétaires assez remontées en face de moi et où il a fallu expliquer le nouveau choix, les contraintes que ça allait imposer mais surtout, les avantages qu'on allait pouvoir en retirer. Résultat, le projet a été jusqu'au bout et aujourd'hui, personne ne le remettrait en question, surtout en cette période de disette de crédits. Mais si je n'avais pas impulsé l'effort de transition avec mes petits moyens, rien ne se serait produit ! La solution la plus simple aurait été de continuer, j'aurais eu la paix sociale et sans doute moins de regards désapprobateurs.

    Pour la migration vers LibreOffice, nous avons fait un gros effort de formation (tout le monde a été formé à la nouvelle suite bureautique pendant 5 jours) et l'équipe informatique locale s'est clairement investie pour répondre aux différents problèmes individuels des utilisateurs (les macros, les publipostages où la logique est différente, etc.). Résultat: là encore, ça a marché même si certains points posaient (et continuent de poser) problème. Je crois pouvoir dire qu'aujourd'hui, si on devait envisager une migration vers MS Office, on aurait une levée de boucliers des agents car ils seraient obligés de reprendre presque tout de zéro (le passage MS Office 2000 vers la dernière version étant sans doute assez proche du cataclisme) !

    Je peux aussi reproduire l'exemple avec QGIS. Au début un petit groupe de géomaticiens habitués à MapInfo ont essayé QGIS et ils se sont aperçu qu'on avait au moins 80% des fonctionnalités de MapInfo pour O€ de licence. On a lancé un groupe de travail à plusieurs administrations et finalement, aujourd'hui les centrales des ministères ne retiennent que QGIS comme logiciel de SIG car en plus d'avoir toutes les fonctionnalités requises (et aussi de nouvelles fonctionnalités) il permet de diminuer le coût des licences d'un ordre de grandeur du million d'€ ! Certes, il faut prendre en compte la formation mais, comme dans mes expériences passées, ce coût se lisse assez bien sur le moyen terme (une fois les docs de formation disponibles, il n'y a plus que de l'assistance qui était déjà disponible pour le cas du logiciel propriétaire) et au final, on est largement gagnant. Surtout que maintenant, en 2015, les logiciels libres les plus utilisés ont clairement de la bouteille et qu'ils sont plus stables et plus fonctionnels qu'il y a 10 ans.

    Le frein majeur du libre dans le secteur public se concentre actuellement autour des applications métiers sur étagères. Dans ces conditions, l'éditeur impose ce qu'il veut. C'est un modèle qui, même s'il paraît plus abordable au début, est à proscrire sur le long terme. La majorité des ministères ne fait plus avec ça et préfère créer quelque-chose à partir d'un cahier des charges qu'ils maîtrisent même si, dans la majorité, le développement est externalisé. En plus de ça, il faut aussi reconnaître que les solutions métiers toutes prêtes sont circonscrites à quelques niches (horodatage/badgeage, paye ou RH): va trouver un logiciel tout prêt qui permet de gérer le paiement des aides agricoles européennes avec la réglementation mouvante qui va avec sur étagère !

    Par ailleurs, et en ce qui concerne l'Etat, il existe un marché public de support de logiciel libre qui date de 2012-2013.

    Mais même au niveau du monde médical, ça change. Regardez le logiciel libre Orthanc qui gère une partie de l'imagerie médicale. C'est donc que ça doit être possible. Dans ces conditions, je dirais que l'union fait la force: regrouper plusieurs hopitaux pour créer des logiciels métiers adaptés permettrait de faire de grandes choses et coûterait moins cher, même sur le moyen terme. Rien n'empêche de lancer des groupes de travail pour essayer de faire avancer le shmilblick.

    Pour conclure, je dirais que le libre dans l'administration, ça vient d'en bas et qu'après ça vient pas d'en haut. Avec un petit noyau de militants, on fait migrer des entités aussi importantes que des ministères, surtout quand ces derniers sont à l'affût d'économies.

  • # Les ordis libres

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Espace logiciels libres/hackers/fablabs à la Fête de l'Humanité du 11 au 13 septembre 2015. Évalué à 4.

    Hello,

    je tenais à attirer votre attention sur les panneaux des ordis libres.
    Cette association a créé un ensemble de panneaux destinés aux néophytes du logiciel libre. J'ai déjà eu l'occasion de les voir affichés dans les locaux de mon employeur (cafétéria ou panneaux d'annonces) et ils sont très bien faits.

    Quelques panneaux (au format PDF):

    N'hésitez pas à les imprimer (il existe des versions A4) dans les endroits où vous travaillez, un peu de propagande pour la bonne cause ne fait jamais de mal…

  • # Debian !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message cherche distrib(s) désespérément . Évalué à 7.

    Pour "apprendre plus", tu peux prendre Debian et lire les documentations suivantes (dans l'ordre):

    Une fois que tu auras tout parcouru (et surtout tout compris), tu pourras envisager de devenir un développeur Debian qui est, comme chacun le sait, le niveau de reconnaissance le plus absolu dans le monde du logiciel libre. Lorsque tu seras devenu un développeur Debian, ton avenir sera assuré: à toi les femmes, la célébrité et la maintenance de paquets utilisés par des millions d'utilisateurs à travers le monde…

    Bon programme non ?

  • # LibreOffice Online c'est du SIG web !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche LibreOffice 5.0 : sous le capot. Évalué à 10.

    Hello,

    en lisant le diaporama de Collabora sur LibreOffice Online, je suis tombé de ma chaise en lisant que LibreOffice Online utilise la bibliothèque Javascript Leaflet (cf diapo 12).

    Pour votre information, Leaflet est très utilisée dans le monde de la cartographie en ligne pour afficher des cartes dynamiques. Par exemple, c'est cette bibliothèque qui est utilisée pour l'interface de navigation de la carte dynamique d'OpenStreetMap.

    Il est donc très curieux de retrouver ça dans la version Online de LibreOffice. Si j'ai bien compris le schéma d'architecture, le serveur LibreOffice génère des rendus sous forme de tuiles (comme dans un SIG quoi), à partir des documents ODF. Le navigateur du client utilise ensuite Leaflet pour afficher ces tuiles sauf qu'au lieu d'une carte, on a un document bureautique…

    C'est assez surprenant comme approche et je suis bien surpris du détournement d'une bibliothèque SIG pour une suite bureautique en ligne. Ma foi, si ça marche, pourquoi pas ?

  • # Utilise QGIS, c'est fait pour ça !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal le dessous des cartes. Évalué à 10.

    Hello,

    J'imagine que les personnes dont c'est le métier sont mieux outillés et plus expérimenté et peuvent réaliser cette tâche de manière relativement triviale. Cela m'a mis en appétit pour m'intéresser plus longuement à OSM et aux logiciels de GIS. Sûrement pour le prochain épisode !

    Quand je vois l'effort que tu as fait pour produire cette carte et tes conclusions:, je me dis qu'il faut que je fasse un prochain journal démo sur QGIS !
    Toute la partie de "rendu" aurait pu être créée en quelques clics…

    Dans tous les cas, bravo, tu as bien travaillé, notamment sur la phase acquisition de données qui est clairement le point noir pour débuter: elle implique de récupérer des données réparties chez plusieurs fournisseurs, d'y appliquer des traitements pour obtenir ce qu'on veut et enfin, de convertir tout ça dans un format lisible.

    En attendant, je te conseille de lire deux documents de référence:

    Ces documents, qui sont très majoritairement traduits en français, te permettront de te familiariser avec les concepts des SIG que tu as déjà abordés en partie tout seul, ainsi que de prendre en main QGIS, le logiciel de SIG libre de référence (enfin, c'est mon point de vue assumé).

  • [^] # Re: eh bien

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Exemple: SIG et pollution sonore. Évalué à 6.

    Hello,

    C'était en 2011 :) ce journal est juste un gros commentaire pour accompagner la dépêche sur la sortie de QGIS ­— qui n'a pas été utilisé pour l'étude — et illustrer l'utilisation des données géographiques dans un exemple concret, dépassant les traveaux de nomenclature.

    Ah, je viens seulement de comprendre le pourquoi du journal avec cette phrase. Faut dire que le titre prête à confusion: SGI, pour moi, c'est une marque célèbre de stations de travail. SIG est peut-être le terme le plus approprié (ou GIS)…

  • # Désolé mais il manque une partie à ce journal...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Exemple: SIG et pollution sonore. Évalué à 10.

    Hello,

    j'ai l'impression qu'il manque la partie principale du journal. Tu as présenté la méthodologie mais il faudrait aussi traiter le reste:

    • Comment a été conduite l'étude ?
    • Qui à fait quoi ?
    • Quels sont les logiciels qui ont été utilisés (surtout si ces derniers sont libres) ?
    • Quels sont les grandes lignes des traitements ou les requêtes SQL géographiques qui ont été employés ?
    • Quels ont été les trucs bien et les trucs qui ont posé problème ?
    • C'est quoi la suite (impact sur la collectivité publique) ?
    • Est-ce-qu'il existe des cartes en lignes consultables par le grand public ?
    • Est-ce-que les données de l'étude ont été publiées en opendata ?

    Pour information, ce genre d'études est également obligatoire pour les collectivités publiques (assistées des services de l'État) françaises avant une certaine date (m'en souviens plus, je ne suis pas un spécialiste métier). Il s'agit sans doute d'un cadre européen contre le bruit des infrastructures.

  • # Rundeck

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Ordonnancement. Évalué à 3.

    Hello,

    il y a 2 ans, la boutique dans laquelle je bossais avait commencé à évaluer Rundeck. Ça semblait assez intéressant même si basé sur Java:

    • L'interface est assez simple à prendre en main et elle est très épurée (tout en restant efficace).
    • On peut facilement voir si tel ou tel job est en échec ou non.
    • Pour les sysadmins barbus (et les scripts), on peut utiliser la ligne de commande pour gérer le service.

    L'orientation se porte vers des environnements professionnels (ou bien garnis en termes de technique):

    Pour résumer, ça avait l'air assez sérieux pour qu'on se penche dessus. Comme je suis parti avant la fin du projet, je ne sais pas si Rundeck a été retenu mais, de mon point de vue, il semblait correspondre assez bien à nos besoins tout en étant un logiciel libre (ou au moins Opensource)…

  • [^] # Re: Crashplan

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal On vient de passer un seuil économique pour la sauvegarde en ligne !. Évalué à 6.

    Hello,

    effectivement, il y avait déjà d'autres offres intéressantes à des prix assez compétitifs mais les offres d'Amazon et OVH sont plutôt orientées particuliers. L'offre de Crashplan est plutôt orientée entreprise.

    Il existe depuis quelques années déjà l'offre de BackBlaze qui est très sérieuse: 5$/mois pour de l'illimité. Ils documentent d'ailleurs très bien ce qu'il font avec leurs PODs qu'ils construisent eux-mêmes. Par ailleurs, ils publient également leurs statistiques sur les disques durs qu'ils utilisent.

    Le seul problème c'est qu'ils n'ont pas de client sous GNU/Linux et c'est ce qui m'a refroidi d'aller chez eux…

  • [^] # Re: Autres avantages à la maison

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal On vient de passer un seuil économique pour la sauvegarde en ligne !. Évalué à 7.

    Hello,

    je n'en ai pas parlé mais bien entendu, la sauvegarde chez-soi doit être chiffrée ! En effet, un simple cambriolage permet de se faire voler des données qui sont hautement sensibles. En général, on sauvegarde toute notre vie numérique. En 2015, il y a des choses qui nous tiennent à coeur, par exemple notre collection de photos personnelles ou des copies de documents administratifs de haute importance (genre ceux qui permettent d'usurper une identité). Le chiffrement du stockage de la sauvegarde sur le serveur dédié est donc indispensable. De plus, le simple fait d'externaliser impose de chiffrer: je place ma sauvegarde chez un tiers sur lequel je n'ai pas de contrôle. Rien ne l'empêche de lire le contenu ou de le copier. De même il peut également se faire cambrioler ces disques durs… Donc le chiffrement est un pré-requis. Il l'est également sur une solution de sauvegarde externe type Hubic ou Amazon.

    Pour le débit de 70Mo/s je parlais d'un minimum pour le SATA sur des disques assez récents (moins de deux ans), sans RAID et sans chiffrement (ce qui divise les perfs par 2 ou 3). Bien sûr, si on prend du matériel plus performant, type SAS ou SCSI, on peut augmenter le débit mais le coût augmente également sensiblement, du coup la solution chez soi devient carrément chère.

  • # J'en vois un...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Traitement de texte . Évalué à 1.

    hello,

    en licence libre, je ne vois que la main droite

    PS: effectivement avec Emacs, ça va être plus dur mais pas forcément impossible avec un bon mapping de clavier..

    -- rédigé avec ma seule ma main droite.

  • # Import des contacts

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Firefox OS sur ZTE Open C : la voie est libre, mais la route est encore longue…. Évalué à 1. Dernière modification le 10 octobre 2014 à 13:15.

    Hello,

    c'est bizarre cette histoire d'import de contacts SIM qui ne fonctionne pas. Sur mon Geeksphone Revolution sous Firefox OS 1.3, j'ai réussi à importer mes contacts SIM en utilisant l'application de base (celle des contacts) en deux taps. J'ai simplement sélectionné Importer les contacts -> Carte Sim et tout s'est très bien passé. C'était même plus simple que sous Android (le Revolution est livré de base avec Android 4.2.2) où je devais sélectionner manuellement et unitairement les contacts que je voulais importer (à moins que je n'ai pas trouvé comment faire mais je conclue que ce n'était pas aussi simple que sous Firefox OS).

    De plus, en ce qui concerne la configuration accès Data 3G, je n'ai rien eu à faire. Firefox OS a détecté mon opérateur (Free) et a réalisé la configuration pour moi, comme un grand. Sous Android, j'ai dû faire la configuration à la main en allant chercher sur le web les éléments de configuration… Pas très User-friendly !

    Peut-être est-ce l'implémentation de Firefox OS sur le ZTE Open C qui pose problème ?

  • # linuxfr != news.ycombinator.com

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Journal Bookmark #1. Évalué à 10.

    Hello,

    désolé mais les liens que tu donnes, je les avais déjà lu dans HackerNews pas plus tard qu'hier… Aucun intérêt de les rediffuser quasi tels quels, tout juste traduits en français sur linuxfr: autant prendre la source à l'origine.

    Pour linuxfr, j'attends des choses rédigées en français, plutôt complètes, qui essayent de faire le tour d'un sujet ou qui apportent des choses d'intérêt comme des retours d'expérience, des situations personnelles, des gens qui essayent des choses nouvelles, qui expérimentent. Bref, pas des choses qu'on a sur les sites de news GNU/Linux en tout genre. Le tout ne peut évidemment se satisfaire de 3 lignes de synthèse ou d'un lien vers un blog.

    Les dépêches sur le noyau Linux sont, à mon sens, assez emblématiques de ce qu'est capable de produire linuxfr, à la différence de bien d'autres sites de news.
    Les quelques journaux bookmarks d'intérêt qu'on a pu croiser régulièrement ont justement fait l'effort de condenser un ensemble de liens sur quelques sujets et d'apporter un minimum de ressenti ou de REX. Ces journaux bookmarks (qui n'en sont pas vraiment finalement), je n'ai aucun problème à les lire. Les autres ont beaucoup moins d'intérêt. Plutôt que de perdre du temps à les publier, il vaudrait mieux contribuer aux rédactions communes sur les gros articles.

    Néanmoins, un bon journal bookmark destiné à la détente ne fais jamais de mal…

    Bye !

  • # Excellente initiative !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche systemd pour les administrateurs, partie 1 et 2. Évalué à 10.

    Je tiens à souligner que cette série d'articles est une excellente initiative.

    En effet, qu'on le veuille ou non systemd va toucher de plus en plus de systèmes car c'est maintenant, le système d'init retenu par la grande majorité des distributions GNU/Linux (dont la prochaine version de Debian stable notamment). D'un point de vue personnel, j'ai tout un tas de machines qui vont être concernées aussi, plus je connaîtrais ce composant, mieux ce sera; ne serait-ce que pour pouvoir mieux me dépatouiller lorsque que je ferais un apt-get install systemd.

    Dans ces conditions, je pense qu'à l'avenir, la connaissance de systemd va être un pré-requis pour tout administrateur système digne de ce nom (qu'il considère systemd comme opérationnel ou non). Dans tous les cas, ça ne peut être qu'un plus sur un CV…

    Vivement la suite…

  • # Burp...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Bacula : ça bouge dans la sauvegarde !. Évalué à 6.

    Bonjour,

    Cela fait effectivement longtemps que Bacula n'a pas évolué et c'est plutôt intéressant de voir que le développement a repris.

    Pendant qu'on est sur le sujet de la sauvegarde libre, je voulais juste vous signaler un projet intéressant qui se nomme burp. Il s'agit d'un logiciel de sauvegarde KISS, même s'il fait beaucoup de choses assez sympathiques. Je l'avais évalué pour un projet de migration de système de sauvegarde et ses fonctionnalités, notamment la partie sécurité, étaient vraiment dignes d'intérêt. En effet, l'authentification entre clients et serveur de sauvegarde se fait avec des certificats x509 et avec un secret partagé. Par ailleurs, la configuration est très modulaire et très souple grâce à une directive de type "include".

    L'auteur de Burp a d'ailleurs réalisé ce logiciel pour répondre à la complexité d'implémentation de Bacula ainsi que des inconvénients de ce dernier.

    Couplé avec un système de déduplication comme celui de ZFS, on peut avoir des performances non négligeables en matière de stockage des sauvegardes. A mon avis, il ne lui manque que la gestion des sauvegardes de machines virtuelles et leur mode de sauvegarde spécifique (notamment pour VmWare) pour en faire une solution vraiment complète et prête pour la sauvegarde sur disques d'un datacenter.

  • # fdm

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Un cron pour les filtres Sieve. Évalué à 2.

    Bonjour,

    pour ce genre de manipulation côté client ou même côté serveur si tu as accès à un shell, tu peux utiliser fdm. Il est très léger et présent dans une majorité de distributions GNU/Linux. Il se configure avec un simple fichier de configuration, on peut imaginer un grand nombres de règles différentes pour trier ou supprimer, le tout sur des comptes IMAP ou sur des Mailbox fichiers. En le combinant avec cron, on obtient une solution de tri de courrier électronique automatisée.

  • # BURP

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Retour d’expérience sur Bacula. Évalué à 2.

    Hello,

    si tu souhaites utiliser Bacula pour faire de la sauvegarde D2D (disk to disk), je te conseille de jeter un oeil sur Burp. C'est un logiciel de sauvegarde Kiss qui repose sur les mêmes principes que Bacula mais en moins complexe (il n'y a qu'à voir la liste des options de Bacula dans la doc et comparer avec celles de Burp pour s'en rendre compte). L'auteur de Burp a développé son logiciel pour aller plus loin que Bacula tout en écartant les problèmes de ce dernier.

    A mon humble avis, un des points faibles de Bacula doit se situer au niveau de la base de données qu'il faut mettre en place pour gérer le catalogue de sauvegarde. Ça fait un goulet d'étranglement non négligeable si on n'a pas correctement dimensionné l'ensemble. Burp n'a pas de base de données et sa configuration tient dans quelques fichiers textes intelligemment répartis (inclusions pour former des groupes de sauvegardes par exemple). De plus, Burp est bien plus sécurisé: il y a une vraie authentification entre les clients et les serveurs (via PKI).

    Quitte à tester Bacula, je prendrais le temps d'évaluer Burp avant…

  • [^] # Re: Bien, mais l'obligation....

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Modification du code des marchés publics italien imposant l’usage du logiciel libre. Évalué à 9.

    hello,

    Arrivé en master, j'ai vraiment touché ses limites : dès que l'on a besoin de la gestion de quelques chapitres, d'une pagination, d'un index, certes, les fonctions sont dispo, mais trop compliquées à utiliser par rapport à MS office.

    Moi, pour faire la même chose, j'utilise le modèle de rapport de mon ministère sous Open/LibreOffice: ça offre tout ce que tu cites et c'est déjà pré-réglé avec les styles, l'index et la table des matières automatiques, la gestion automatique des chapitres. Et effectivement, s'il me fallait retrouver comment on fait pour mettre en place ces éléments, ça me prendrait du temps. Mais j'avoue que le modèle utilisé évite complètement de se poser ces questions.Résultat: il est massivement utilisé par près de 2000 agents ( à la louche).

    A noter que je suis aussi bien démuni pour faire la même chose avec MS-Office !