• #

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

    Consulté… mais je doute que ça soit pris en compte.

    Python 3 - Apprendre à programmer dans l'écosystème Python → https://www.dunod.com/EAN/9782100809141

  • # Ma contribution

    Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

    Si ça en inspire quelques unes :

    • La production de betterave industrielle sucrière va à l'encontre de la restauration de la biodiversité et devrait être découragée plutôt qu'encouragée.
    • Les substances dont il est question sont notoirement connues pour participer à la destruction de la biodiversité. Leur usage devrait être découragé plutôt qu'encouragé.

    Question : quelle est la contrepartie prévue en échange de cette nouvelle étape dans le saccage de la biodiversité ? Un minimum de politesse serait de compenser localement cette destruction de biodiversité par l'extension des zones d'intérêt écologiques, dans une proportion substantielle des surface concernées.

    Adhérer à l'April, ça vous tente ?

    • [^] # Re: Ma contribution

      Posté par  (site web personnel) . Évalué à 2.

      Il n'y a peut être pas d'alternatives en terme de traitements, mais il y a plein d'alternatives pour faire pousser autre chose que de la betterave sucrière.

      Surtout que les conséquences, avec ce traitement, vont avoir un impact négatif sur l'ensemble des productions, puisque ça va détruire aussi les insectes pollinisateurs.

      Pourquoi bloquer la publicité et les traqueurs : https://greboca.com/Pourquoi-bloquer-la-publicite-et-les-traqueurs.html

      • [^] # Re: Ma contribution

        Posté par  (site web personnel) . Évalué à 3.

        De la betterave sucrière bio pousse en france. Par ailleurs, la culture de la betterave sucrière existait bien avant l'invention des néonicotinoïdes (cf Jean-Antoine_Chaptal). Et elle cohabitait avec la jaunisse (maladie décrite pour la première fois en 1936 d'après Virus de la jaunisse de la betterave).

        Je ne suis pas du tout expert du sujet mais j'ai un peu l'impression de mauvaise fois. J'ai aussi l'impression que l'idée de sacrifier une petite partie de l'industrie au profit d'une petite partie de la vie sauvage n'a pas traversé ne serait-ce qu'une fois l'esprit des dirigeants à l'origine de cette politique (en tout cas rien de ce que j'ai lu ne montre que le choix suivi a été mis en balance gain/bénéfice avec la contraposée).

        Adhérer à l'April, ça vous tente ?

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